Né au Japon, au XIIe siècle, il reste un art très délicat car les éléments nécessaires à sa fabrication sont très instables. Il diffère de la marbrure occidentale par trois points essentiels : le support sur lequel flottent les encres est de l'eau pure ; les couleurs sont des encres ; le papier japonais est très absorbant. L'application des couleurs sur la pulpe se fait au pinceau, en alternance avec l'huile. L'ensemble est ensuite dispersé par soufflage2.
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